J'ai commencé cet article en octobre 2019. Et puis... je n'étais pas satisfaite de ce que je pouvais apporter par rapport aux articles précédents
Je l'ai repris en Mai 2021. Il faut dire que pendant ces drôles de derniers 18 mois, on a constaté surtout que le sommeil était de plus en plus étudié, scanné, surveillé, réparé, et que les connaissances le concernant se renforçaient et se complétaient de mois en mois.
Par exemple, la sieste quotidienne de 20 à 30 minutes est de plus en plus recommandée: trouvez ci-dessous les 10 bonnes raisons pour la faire, et vous constaterez que Covid 19 et Télétravail nous recommandent sérieusement de découvrir l'étendue de ses bienfaits:
https://tendances.orange.fr/bien-etre/forme/diaporama-sieste-10-raisons-de-s-y-mettre-CNT000001B3nPb/-785ac29c4b3f2a5ad04772ee6ae26b69.html#plmAnchor
Par exemple, l'analyse et la compréhension des apnées du sommeil ont beaucoup progressé, les machines qui nous assistent pour nous aider à respirer quand on souffre de cette affection, sont plus petites, plus fiables et je suis sûre que l'assistance respiratoire à domicile qui a énormément progressé pour soigner les gens atteints par la pandémie, n'a pas été étrangère aux progrès actuels.
Et puis, je n'ai pas posté non plus l'article ci-dessus: trop léger me semblait-il.
Et nous sommes maintenant en Juin 2023: sauf que les articles de fond que l'on trouve sur LE POINT par exemple, datent de ... fin 2017. Je cite:
"Dix mille : c'est le nombre moyen d'articles publiés chaque année sur le sommeil. Cent fois plus qu'il y a dix ans ! Preuve que, malgré l'absence de subventions européennes, « le sujet intéresse », se réjouit le Pr Damien Léger, qui dirige le centre du sommeil de l'Hôtel-Dieu, à Paris. Le résultat d'une « prise de conscience des conséquences du manque de repos en termes de santé publique, mais aussi des évolutions techniques », dit-il. Parcourir l'une des 50 unités spécialisées dans le sommeil qui fleurissent dans l'Hexagone en donne la mesure. Aujourd'hui, 60 à 70 % des enregistrements sont effectués, en ambulatoire, par le patient lui-même, au moyen de capteurs miniaturisés. Les données sont mieux recueillies, la qualité d'analyse est améliorée et la recherche est accélérée"
Bref, ce sont des bonnes nouvelles, mais il va me falloir pousser sérieusement plus loin l'investigation récente, sauf à comprendre déjà qu'aujourd'hui les moyens sont moins mis sur 'Chercher' que sur 'Soigner/réparer'
Et qu'il est temps de poster!
A bientôt
Olouette